Bernhari

À la suite d’innombrables sessions nocturnes à enregistrer méticuleusement ses chansons au Studio Victor, Bernhari livre un premier disque de pop shoegaze aux pièces raffinées rappelant les univers de My Bloody Valentine et de Claude Léveillée.
Ce fruit exotique né de la collaboration entre musiciens inspirés est une rêverie, les yeux clairs tournés vers l'avenir.

La réalisation, mise entre les mains talentueuses d'Emmanuel Éthier (Jimmy Hunt, Peter Peter, Kandle), ajoute à la profondeur de cette pop savamment orchestrée. La basse y sonne comme un radar, les guitares comme des navettes, et la section rythmique comme le bruit des running shoes pourchassant l'escouade anti-émeute. Les arrangements musicaux ont été réalisés des suites d'une collaboration entre Alexandre Bernhari (L'Ours, L'Étranger), Shawn Cotton (Jonquière LSD, Les Fidel Castrol), Simon Quevillon (Mille Monarques, Le Pli) et Emmanuel Éthier. Le mixage de l'album a été confié à Mark Lawson (The Unicorns, Arcade Fire) et le matriçage à Bryan Lucey (The Black Keys, Arctic Monkeys, Sigur Rós), tous deux récipiendaires d'un prix Grammy. Ryan Battistuzzi (Malajube, We Are Wolves) a conclu le mixage de cet album éponyme par sa contribution distincte à deux de ses titres.

Bernhari se présente sur scène avec sa bande en véritable homme-orchestre, chantant, jouant du clavier d’une main et des percussions de l’autre.
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