Jimmy Hunt
Jimmy Hunt a eu de multiples incarnations depuis son arrivée à Montréal : homme-orchestre, gentleman rockeur au sein de Chocolat et chanteur de charme en duo avec Cœur de pirate, notamment.
C’est avec un album qui lui est homonyme que Jimmy Hunt se fait mieux connaître du grand public, en solo. L’album paraît chez Grosse Boîte en octobre 2010. Puis, l’auteur-compositeur-interprète croule sous les éloges ; nommé au Gala de l’ADISQ dans les catégories Album de l’année – Folk contemporain et Révélation de l’année, et est lauréat au GAMIQ, dans les catégories Auteur-compositeur de l’année et Album chanson de l’année. Puis, pour bien conclure le cycle de cet album, Jimmy est des Révélations Radio-Canada 2011-2012, qui soulignent l’excellence d’artistes francophones de la relève.
Le temps passe, et après les vagues et la vie normale, Jimmy Hunt nous revient avec un album qui court, qui court : Maladie d’amour. On y retrouve le côté folk qui a fait la grâce du premier album, mais évidemment, Jimmy n’allait pas en rester là. En effet, l’album oppose aussi des envolées électro touffues à des textes minimalistes. On ne voudrait pas trop en mettre, mais on va y aller : il y a résolument du Gainsbourg dans ce Maladie d’amour, par l’innovation, la dégaine, et… que dire de la pochette.
On doit aussi ces explorations sonores à deux proches collaborateurs de Jimmy Hunt qui l’ont accompagné en spectacle, soit le claviériste et programmeur de choses électroniques Christophe Lamarche-Ledoux (Organ Mood) et le multi-instrumentiste Emmanuel Éthier (Passwords). Le premier a assuré la prise de son et les arrangements de certaines pièces, le deuxième la réalisation et tous deux ont joué sur l’album.
Maladie d’amour, c’est du dense qui se danse.
Le temps passe, et après les vagues et la vie normale, Jimmy Hunt nous revient avec un album qui court, qui court : Maladie d’amour. On y retrouve le côté folk qui a fait la grâce du premier album, mais évidemment, Jimmy n’allait pas en rester là. En effet, l’album oppose aussi des envolées électro touffues à des textes minimalistes. On ne voudrait pas trop en mettre, mais on va y aller : il y a résolument du Gainsbourg dans ce Maladie d’amour, par l’innovation, la dégaine, et… que dire de la pochette.
On doit aussi ces explorations sonores à deux proches collaborateurs de Jimmy Hunt qui l’ont accompagné en spectacle, soit le claviériste et programmeur de choses électroniques Christophe Lamarche-Ledoux (Organ Mood) et le multi-instrumentiste Emmanuel Éthier (Passwords). Le premier a assuré la prise de son et les arrangements de certaines pièces, le deuxième la réalisation et tous deux ont joué sur l’album.
Maladie d’amour, c’est du dense qui se danse.
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