Sally Folk
Crédit photo:
© Copyright 2024. Spectr...
Sally Folk est née en 1982 à Montréal, d’un père algérien et d’une mère québécoise.
Elle grandit à travers la cohabitation de ces deux horizons, souvent témoin d’un choc des cultures. Ouverte sur le monde, elle ressent rapidement cette influence multiculturelle dans son développement social, qui se transposera ensuite dans son écriture et sa musique.
C’est au cours d’un exil au Honduras, empli d’introspection, que la musicienne en elle émerge réellement. Elle y apprend la guitare, développant une relation fusionnelle avec l’instrument. Loin de tout ce qu’elle connaît et de ceux qui la connaissent, elle laisse place à son alter ego et apprivoise cette partie d’elle-même, jusqu’à en délaisser son propre nom. Forte et sereine, elle adopte le nom de Sally Folk, dérivé du nom Sarah qui signifie princesse souveraine en hébreu.
De retour à Montréal, elle passe le plus clair de son temps à écrire, paroles et musique. Elle développe sa plume, se forgeant une unicité surprenante. Via sa musique, elle donne vie à son alter ego, une jeune femme indomptable qui fait preuve de profondeur, d’une attitude détachée et d’une bonne dose d’humour, d’énergie et d’enthousiasme. Elle n’a donc pas peur de briser les barrières et d’aborder des sujets plus tabous. Elle déstabilise volontairement, sortant du chemin traditionnel. Elle représente ainsi la femme moderne, dans toute sa splendeur, avec une fougue rafraîchissante!
En peu de temps, Sally Folk a su développer un univers musical bien à elle, avec un son
feutré et envoûtant. Auteure-compositrice-interprète, son authenticité se ressent dans tout ce qu’elle fait. Des rencontres marquantes lui permettent de s’entourer de collaborateurs de confiance. Découverte par Marc Déry, elle trouve ainsi de précieux complices en lui et son acolyte Michel Dagenais, réalisateur et compositeur de renom (Jean Leloup, Daniel Bélanger, Maxime Landry, Marc Déry). Elle devient également un coup de cœur sans précédent pour Daniel Bélanger, qui a même accepté d’offrir sa voix sur une des chansons de l’album.
En juillet 2010, Sally Folk séduit le public québécois pour une première fois sur scène. Elle offre deux prestations d’une heure lors de la 31eédition du Festival international de Jazz de Montréal, sur la grande scène Rio Tinto Alcan, devant plus de 10 000 spectateurs.
En juin 2013, Sally Folk lance un premier extrait radio, Heureux infidèles. À travers cette pièce, elle se projette dans une relation conjugale particulière, qui ne prend pas appui sur les standards proposés par la société, souvent tabou, encore en 2013. Avec son écriture imagée, elle propose le point de vue d’une femme sur un thème rarement exploré. La chanson se hisse d’ailleurs au #1 de palmarès radio pendant plusieurs semaines. Puis, l’artiste propose également un vidéoclip de la pièce qui connaît un grand succès.
C’est au cours d’un exil au Honduras, empli d’introspection, que la musicienne en elle émerge réellement. Elle y apprend la guitare, développant une relation fusionnelle avec l’instrument. Loin de tout ce qu’elle connaît et de ceux qui la connaissent, elle laisse place à son alter ego et apprivoise cette partie d’elle-même, jusqu’à en délaisser son propre nom. Forte et sereine, elle adopte le nom de Sally Folk, dérivé du nom Sarah qui signifie princesse souveraine en hébreu.
De retour à Montréal, elle passe le plus clair de son temps à écrire, paroles et musique. Elle développe sa plume, se forgeant une unicité surprenante. Via sa musique, elle donne vie à son alter ego, une jeune femme indomptable qui fait preuve de profondeur, d’une attitude détachée et d’une bonne dose d’humour, d’énergie et d’enthousiasme. Elle n’a donc pas peur de briser les barrières et d’aborder des sujets plus tabous. Elle déstabilise volontairement, sortant du chemin traditionnel. Elle représente ainsi la femme moderne, dans toute sa splendeur, avec une fougue rafraîchissante!
En peu de temps, Sally Folk a su développer un univers musical bien à elle, avec un son
feutré et envoûtant. Auteure-compositrice-interprète, son authenticité se ressent dans tout ce qu’elle fait. Des rencontres marquantes lui permettent de s’entourer de collaborateurs de confiance. Découverte par Marc Déry, elle trouve ainsi de précieux complices en lui et son acolyte Michel Dagenais, réalisateur et compositeur de renom (Jean Leloup, Daniel Bélanger, Maxime Landry, Marc Déry). Elle devient également un coup de cœur sans précédent pour Daniel Bélanger, qui a même accepté d’offrir sa voix sur une des chansons de l’album.
En juillet 2010, Sally Folk séduit le public québécois pour une première fois sur scène. Elle offre deux prestations d’une heure lors de la 31eédition du Festival international de Jazz de Montréal, sur la grande scène Rio Tinto Alcan, devant plus de 10 000 spectateurs.
En juin 2013, Sally Folk lance un premier extrait radio, Heureux infidèles. À travers cette pièce, elle se projette dans une relation conjugale particulière, qui ne prend pas appui sur les standards proposés par la société, souvent tabou, encore en 2013. Avec son écriture imagée, elle propose le point de vue d’une femme sur un thème rarement exploré. La chanson se hisse d’ailleurs au #1 de palmarès radio pendant plusieurs semaines. Puis, l’artiste propose également un vidéoclip de la pièce qui connaît un grand succès.
Signaler un problème
Signaler un problème