Olivier de Sagazan | TRANSFIGURATION
Après avoir marqué les esprits avec La Messe de l’Âne (2023) et un passage triomphal à La Sala Rossa en 2016, Olivier de Sagazan — peintre, sculpteur et performeur français — revient au Festival Phénomena avec sa performance culte : TRANSFIGURATION, acclamée dans plus de 25 pays et présentée près de 350 fois.
Une œuvre vivante, viscérale, bouleversante
Dans TRANSFIGURATION, de Sagazan explore l’identité à travers un travail de surmodelage à l’argile. Il sculpte en direct sur son propre visage, brouille les frontières entre l’humain et l’animal, entre la forme et l’informe, entre le masque et la chair. Chaque geste détruit pour révéler, chaque couche effacée cherche une essence neuve, une vérité profonde et instable.
Ses performances (Hybridation, La Messe de l’Âne) sont des extensions de cette œuvre-matrice, où l’artiste devient marionnette et marionnettiste, prêtre, politicien, homme de science… autant de figures sociales qui se transforment sous nos yeux en créatures hybrides et énigmatiques, plongées dans une hallucination collective.
Dans TRANSFIGURATION, de Sagazan explore l’identité à travers un travail de surmodelage à l’argile. Il sculpte en direct sur son propre visage, brouille les frontières entre l’humain et l’animal, entre la forme et l’informe, entre le masque et la chair. Chaque geste détruit pour révéler, chaque couche effacée cherche une essence neuve, une vérité profonde et instable.
Ses performances (Hybridation, La Messe de l’Âne) sont des extensions de cette œuvre-matrice, où l’artiste devient marionnette et marionnettiste, prêtre, politicien, homme de science… autant de figures sociales qui se transforment sous nos yeux en créatures hybrides et énigmatiques, plongées dans une hallucination collective.
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